Mardi soir, avec des compères artistes, nous avons découvert la ville italienne de l’art : Florence...
Nous sommes donc partis à cinq dans cette ville que l’on appelle Firenze dans sa langue maternelle. Capitale de la Toscane, Florence est réputée pour les nombreux chef d’oeuvre hérités de la famille des Médicis. Voilà pour l’aspect culturel, en ce qui me concerne mardi j’étais à la maison des jeux autour d’une table avec le jeu de Wolfgang Kramer : Les Prince de Florence.
Christophe, explique moi la règle
Autour de la table, nous sommes quatre garçons pour une demoiselle. Il y avait Guillaume, Christophe, Laurent et Moi même, pour les garçons et Noémie pour la demoiselle. Christophe s’est chargé de lire les règles pour nous les expliquer à tous car, à part Guillaume qui avait fait une partie il y a trèèèèèès longtemps, personne n’avait joué à ce jeu. Et là, je dois tirer un coup de chapeau à Christophe, car expliquer des règles quand Guillaume et Noémie font des blagues un peu limite (pour rester poli) n’a rien de facile.
Il n’est point de bonheur sans liberté, ni de liberté sans courage.
Après les explications, nous voilà partis dans notre domaine pour faire des nouvelles constructions pour qu’il soit le plus beau... A ce jeu là, je reste en retrait laissant mes compagnons engranger les points. Je m’attarde à récupérer les différentes libertés (voyage, opinion et religion) car étant limitées en nombre je me dis que les posséder toutes peut me servir pour plus tard !
Le réveil de l’artiste
Une fois les libertés acquises, je peux donc me lancer dans la construction de belles œuvres. La limitation imposant une qualité de plus en plus haute au fil des tours ne me gène pas étant donné que je possède toutes les libertés et donc un nombre de points conséquent par ouvrage. Pendant ce temps là, Guillaume creuse un trou avec tout le monde mais il va très vite s’essouffler... Mes autres compagnons sont également dans les mêmes points que moi. Laurent se concentrant à faire de son domaine une forêt, Noémie à construire des bâtiments bien grand et Christophe en faisant un peu de tout...
Il est l’or de la fin...
Au final et après les 7 tours de jeu, je me détache très bien arrivant même aux 50 points limite du plateau de jeu. Je me dis que la victoire peut me sourire mais c’était sans compter sur Christophe, qui avec ses bonus de fin, me rejoint sur ce chiffre ! Et en cas d’égalité la différence se fait sur les sous, aspect de la règle que j’ignorais et Christophe, avec ses 3 sous d’avance, gagne cette partie...
Malgré cette seconde place, j’ai passé un très bon moment avec de charmants compagnons et compagnonne. Merci à tous.
J’ai beaucoup aimé ce classique des jeux de plateaux. Un peu d’enchère, un peu de placement à la Tetris et beaucoup de réflexion pour arriver à ses fins, en font un très bon jeu. La configuration à cinq ne nuit pas à la fluidité ni à la longueur de la partie. A refaire très vite pour confirmer cette bonne impression.