Une absence de pluie au cours du mois de mars c’est fait sentir et a entraîné un assèchement des nappes souterraines dans notre belle région. Donc prudence la sècheresse nous guette ! Les élections aussi d’ailleurs ! Mais la sècheresse de Ludopathes n’a pas lieu pour mon plus grand bonheur et bien au contraire vous êtes de plus en plus présent (avec le sourire) lors de nos soirées jeux du mardi et vendredi soir !
Le mois de Mars du bubu s’est clôturé sur un nombre de 24 parties dont 2 découvertes
Strabourg (1 partie) : un jeu de Stevan Feld un des auteurs du moment. Mes 2 précédentes découverte ludique de cet auteur de jeux « Les châteaux de Bourgogne » « Trajan » m’avaient déçu, non pas au niveau mécanismes (du tout bon !), mais plutôt par un gros manque d’interaction.
Sur le jeu Strasbourg ce n’est pas du tout le cas, l’interaction est bien là et c’est du tout bon, du violent tout simplement une très bonne surprise. Mon seul regret c’est un jeu uniquement d’enchère (pas forcément ma tasse de thé lorsque un jeu se limite uniquement à un mécanisme d’enchères).
A refaire pour confirmer cette très bonne impression !
Mil (2 parties) : un jeu qui m’a déçu pour le moment car j’ai eu l’impression que nos parties étaient guidé : on vassalise, puis on monte en pression en récoltant un maximum de cubes en essayant de prendre quelques points de victoires en route (construction de châteaux, majorité avec les chevaliers) puis on finit au dernier tour par les combats. A Re tester avec le plateau avancé qui rendra le jeu plus tendu.
Confirmation avec 2 parties supplémentaires que le jeu « Descendance » est un bon jeu très fluide (une action par joueur) de pose d’ouvriers avec de bonnes petites idées.
A part çà, des sorties classiques mais toujours aussi bonne comme First train, Sylla, Troyes, Die Handler, Automobile, Carson City et j’en passe…
Objectifs du mois d’avril : Re sortir des jeux qui prennent la poussière comme Impérial, Age of Steam, Power Struggle… Du très bon qui mérite de finir sur nos tables de jeux très prochainement… A suivre.
L'interaction est donc omniprésente et la tactique varie d'une partie à l'autre suivant le choix des adversaires.
Mais celui-ci me laisse une impression mitigée. 
L'auteur afin de coller au thème de la vassalité propose une règle touffue et peu intuitive, il en résulte donc une certaine longueur dans l'explication des règles qui peut rebuter certains joueurs.De plus, il est vrai que pour l'instant l'enchainement: je vassalise, je me développe (châteaux fiefs) et je fais la guerre au dernier tour afin de créer des différentiels avec mes adversaires fut de mise dans mes 3 parties effectuées.
. Pour eux une première partie laborieuse mais ils sont près à y retourner donc objectif atteint 
